Oiseau de paradis (vers 1950) ◊ Verre de Murano

240,00

Sculpture en verre soufflé filé à chaud avec inclusion de paillons d’or
Hauteur 41 cm
légères égrenures

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Description

C’est le champion du monde de la parade nuptiale… Excités, les mâles rivalisent de beauté. Contorsions invraisemblables, chants déchirants et surtout ballets d’ailes aux couleurs irréelles… Un conseil : allez admirer les vidéos de la National Géographic Channel (les meilleurs reporters animaliers) et vous comprendrez pourquoi ce “paradisier” fascine autant ceux qui ont eu la chance de le côtoyer (en l’occurrence les Papous de Nouvelle-Guinée) et les rares explorateurs qui l’ont découvert. Comme en 1939, où l’on a pu répertorier le “paradisier de Mayer”, dont la queue rubanée est la plus grande du monde animal (par rapport à sa taille). Un véritable feu d’artifice étincelant au fin fond des mystérieuses forêts tropicales d’Indonésie et d’Australie. De quoi rêver… Et inspirer les fameux maîtres verriers de Murano,  à Venise, qui ont mis au point d’invraisemblables techniques toutes plus séduisantes et jalousées les unes que les autres. Tel cet oiseau en verre soufflé chargé de particules d’or, merveilleusement filé, étiré, modelé à la pince et au fer, le tout à chaud, dans la fournaise des fabriques installées sur les îles de la lagune depuis le… XIIIème siècle.